jeudi 12 décembre 2013

LE MINISTRE DE LA CULTURE SUR LE DECES DE MANDELA
« Un grand homme du  monde est mort, une prince de l’Afrique »
Devant les députés, le ministre de la culture, et du patrimoine Abdou Aziz Mbaye, a rendu hier,  un vibrant hommage au président Nelson Mandela. A l’en croire,   il a  eu la chance de travailler avec ce dernier, au moins une fois par semaine  lorsqu’il était diplomate en Afrique du Sud. «  J’ai eu la chance de travailler avec  le président Mandela,  j’ai eu la chance  que mes enfants le rencontre au moins deux fois par an. Je veux rendre hommage à ce grand homme qui aimait le Sénégal parce que notre pays n’a jamais lâché le peuple noir sud-africain qu’il a toujours soutenu dans la lutte contre l’apartheid », a- t-indiqué. Pour lui,  ce rôle du Sénégal  qui date  de Senghor a continué sous  Abdou Diouf et Abdoulaye Wade et est arrivé maintenant sous Macky Sall. « L’Afrique a perdu un grand homme. Nelson Mandela était un chef traditionnel qui faisait partie de l’ethnie que l’on appelle les  Xhosas, il en était le roi », a-t-il poursuivi. De l’avis de M. Mbaye, un grand homme du monde est mort, un prince de l’Afrique.

LUTTE CONTRE L’INSECURITE ET PROMOTION DU TOURISME A SALY

La mairie dégage  100 millions de Frans Cfa pour l’éclairage public

Face à  l’épineuse question de la sécurité, la municipalité de Saly  a mobilisé, cette année, une somme 100 millions de Francs Cfa pour résoudre la question de l’éclairage publique. Un  geste  qui vient concrétiser la volonté acharnée  de la collectivité d’œuvrer pour la promotion du secteur touristique qui alimente une bonne partie du budget communal. Selon Monsieur Al hassane Fall, secrétaire municipal,  l’éclairage public constitue le premier  paramètre sur lequel ils comptent miser pour lutter contre l’insécurité. « Il faudra faire de sorte que les étrangers qui viennent ici puisse trouve un cadre propice à leur épanouissement. Ce qui repose d’abord et avant tout sur la dimension sécuritaire. Aussi, avons-nous estimé qu’il y a lieu de procéder à l’extension du réseau d’éclairage publique dans tous les quartiers », soutient-t-il.
Mieux, ajoute M.Fall, un projet de construction  d’une poste de police est en cours. L’appel d’offre a été déjà lancé et l’avis d’attribution provisoire vient même d’être publié. Selon lui, la lutte contre l’insécurité a été le premier acte essentiel posé par la mairie dans le but de travailler pour la promotion du tourisme. Toujours dans la même optique, la municipalité a prévu, dans le cadre d’une convention avec l’Ageroute, de désenclaver les quartiers de la cité ; et ce, en procédant à la réalisation de routes bitumées. De même, un projet d’aménagement de l’entrée de Saly a déjà été ficelé et l’institution municipale est en train de chercher des moyens pour son financement. Sur la question de la salubrité, en dépit d’un manque de ressources,  souligne le secrétaire municipal, la mairie a pu acquérir   deux tracteurs avec  bennes pour le nettoiement de la ville. Mais, explique M FALL, « Ce n’est pas encore suffisant, c’est pourquoi nous travaillerons pour  renforcer tous ces dispositifs car la sécurité est indissociable de la salubrité. Ainsi, nous nous évertuerons  à mettre en place les meilleures conditions pour que les touristes puissent davantage s’épanouir à Saly».

samedi 13 avril 2013

CELEBRATION DE LA FETE DU TRAVAIL


En prélude à la célébration de la fête du travail, la Coalition des centrales syndicales a fait face,hier, à la presse pour dévoiler son plan d’action. Cette année, la Coalition entend célébrer le 1ier  mai sous le signe de l’unité.

Cette année, la Coalition des centrales syndicales comptent marquer une rupture dans la célébration de la fête du travail du 1ier mai. Dans sa volonté d’œuvrer pour l’unité au sein des cinq organisations syndicales qui le compose, le cadre ambitionne de poursuivre le processus d’unification du mouvement syndical sénégalais. C’est pourquoi, à en croire, le coordinateur de la coalition, Mamadou Diouf, un grand rassemblement est prévu en lieu et place des traditionnels défilés séparés. « Motivée par un mouvement syndical fort, inclusif et représentatif qui est fondé sur des valeurs de solidarité, d’éthique, de justice sociale et progrès nous  comptons se battre dans l’unité pour défendre les intérêts des travailleurs », a-t-il indiqué. Selon Modou Guiro, il est question de conserver les forces en vue d’asseoir un cadre unitaire fort. « Cette année, nous avons estimé nécessaire de trouver un espace de  discussion et de revoir des bases nous permettant de sélectionner nos préoccupations», a- t-il dit.

Le thème retenu cette année par la Coalition des centrales syndicales est : « Tous ensemble pour le respect des droits syndicaux et un dialogue social renforcé ». A travers ce thème, Mamadou Diop et ses camarades entendent décliner ensemble les principales revendications des travailleurs, redynamiser le dialogue social tripartite et s’unir  pour le respect des droits syndicaux.

Dans un autre registre, le Coalition a déploré la lenteur dans la satisfaction des revendications sociales mais aussi l’absence dialogue social. « Nous sommes partie prenante du changement souhaité par les Sénégalaises et Sénégalais, pour améliorer la méthode de gouvernance dans notre pays, pour la sauvegarde des valeurs citoyennes et le respect des droits sociaux acquis de haute lutte. Cependant, nous sommes au regret de constater  que les choses ne bougent pas encore dans la bonne direction », a laissé entendre M.Diop.

Toutefois, les syndicalistes ont exprimé leur satisfaction  quant à la baisse de la fiscalité sur les salaires. Déplorant le fait de n’avoir été reçu qu’une fois par le Premier ministre, ils ont invité le  gouvernement à développer  et à relancer un dialogue social dans tous les secteurs mais aussi à travailler pour  améliorer le pouvoir d’achat des Sénégalais

samedi 6 avril 2013

Sondage Sénégal


Sondage Sénégal - avril 2013

samedi 16 mars 2013

voici la video

Traque des biens mal acquis : Karim Wade devant le Procureur spécial aujourd’hui

C’est aujourd’hui que l’ancien ministre d’Etat, Karim Wade, doit déférer à la convocation du Procureur spécial près la Cour de répression de l'enrichissement illicite (Crei) qui devrait lui notifier sa mise en demeure.
L’ancien ministre d’Etat Karim Wade doit répondre aujourd’hui à la convocation du procureur spécial près la Cour de répression de l'enrichissement illicite (Crei), Alioune Ndao. Une convocation qui fait suite aux différentes auditions du mis en cause par les enquêteurs de la section de recherches de la gendarmerie de Colobane. À l’issue de ce face-à-face, le procureur spécial devrait lui notifier sa mise en demeure. Karim Wade aura ensuite un mois pour justifier l’origine licite de sa fortune. Passé ce délai, le procureur spécial pourra, s’il n'est pas convaincu par les réponses de l’ancien ministre, ouvrir une information judiciaire et saisir la commission d’instruction de la Crei. Aux juges d’instruction ensuite de décider de l’éventuelle inculpation de Karim Wade et de son éventuel placement en détention provisoire. Selon la loi, il a le droit d’avoir accès pour la première fois à son dossier, quarante-huit heures avant cette convocation. Karim Wade a accédé, hier, aux résultats de l'enquête le concernant, conformément à l'article 6 de la Crei. Selon des sources proches du dossier, Karim Wade avait d'abord envoyé un huissier qui aurait été éconduit par le procureur spécial, exigeant sa présence. Cette convocation de Karim Wade est la deuxième étape d’une longue procédure judiciaire après les enquêtes préliminaires. 

Sources: Soleil