Une oeuvre au service du développement
En conférence de presse hier au centre culturel français, Laurent Dival a fait une présentation de son nouvel ouvrage. Une ouvre qui relate une novelle forme d’anthropologie au service de la société. Mais également comment se font les recherches.
« Faire de l’antroplolgie, santé, science et développement » c’est le nouvel ouvrage de Laurent Dival, chercheur et directeur de recherche à l’institue de recherche pour le développement (IRD).
Un ouvrage d’anthropologue qui relate l’histoire d’un anthropologue au service du développement.
L’intérêt de l’anthropologie dans la vie sociale mais également une façon de poser un regard sur devenir de l’anthropologie.
L’ouvrage s’intéresse à la fabrique de l’anthropologie à partir des recherches menées dans le champ de la recherche en Afrique.
Une manière d’inviter le lecteur à voir comment une recherche est imaginée, comment les chercheurs construisent leurs recherches. Mise en place et suivie, et conclut, en se penchant sur les discussions et les négociations engagées entre les différents acteurs, collègues et populations enquêtées et décideurs.
La préoccupation des populations sont au cœur de la pratique de l’anthropologie.
Ainsi certaines maladies ; comme le sida, la tuberculose, le paludisme font les priorités des recherches alors de décrypter une anthropologie critique des projets de recherche.
De l’avis de Laurent Dival l’ouvrage est aussi une occasion de voir les limites de l’anthropologie, »ses sentiments d’inachevés ».En plus c’est une façon de voir comment les gens pensent le monde en société.
L’ouvrage est composé de trois parties. La première partie « Ensemble pour tous ? Pose un regard sur l’équipe en externe qui amène le lecteur à découvrir le contenu des projets .Une réflexion sur le montage des équipes.
Une deuxième partie qui montre comment les chercheurs construisent leurs recherches la façon dont les projets sont évalués.
Et enfin une troisième parie de rassemblement des idées qui montrent les difficultés à communiquer des chercheurs et la problématique sur le nombre limité de bons vulgarisateurs.
Toutefois, le directeur de recherche à l’IRD est revenu sur le divorce entre l’anthropologie classique et l’anthropologie moderne, avant de déplorer la contrainte de disponibilité des anthropologues.
En conférence de presse hier au centre culturel français, Laurent Dival a fait une présentation de son nouvel ouvrage. Une ouvre qui relate une novelle forme d’anthropologie au service de la société. Mais également comment se font les recherches.
« Faire de l’antroplolgie, santé, science et développement » c’est le nouvel ouvrage de Laurent Dival, chercheur et directeur de recherche à l’institue de recherche pour le développement (IRD).
Un ouvrage d’anthropologue qui relate l’histoire d’un anthropologue au service du développement.
L’intérêt de l’anthropologie dans la vie sociale mais également une façon de poser un regard sur devenir de l’anthropologie.
L’ouvrage s’intéresse à la fabrique de l’anthropologie à partir des recherches menées dans le champ de la recherche en Afrique.
Une manière d’inviter le lecteur à voir comment une recherche est imaginée, comment les chercheurs construisent leurs recherches. Mise en place et suivie, et conclut, en se penchant sur les discussions et les négociations engagées entre les différents acteurs, collègues et populations enquêtées et décideurs.
La préoccupation des populations sont au cœur de la pratique de l’anthropologie.
Ainsi certaines maladies ; comme le sida, la tuberculose, le paludisme font les priorités des recherches alors de décrypter une anthropologie critique des projets de recherche.
De l’avis de Laurent Dival l’ouvrage est aussi une occasion de voir les limites de l’anthropologie, »ses sentiments d’inachevés ».En plus c’est une façon de voir comment les gens pensent le monde en société.
L’ouvrage est composé de trois parties. La première partie « Ensemble pour tous ? Pose un regard sur l’équipe en externe qui amène le lecteur à découvrir le contenu des projets .Une réflexion sur le montage des équipes.
Une deuxième partie qui montre comment les chercheurs construisent leurs recherches la façon dont les projets sont évalués.
Et enfin une troisième parie de rassemblement des idées qui montrent les difficultés à communiquer des chercheurs et la problématique sur le nombre limité de bons vulgarisateurs.
Toutefois, le directeur de recherche à l’IRD est revenu sur le divorce entre l’anthropologie classique et l’anthropologie moderne, avant de déplorer la contrainte de disponibilité des anthropologues.